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TERMINATOR DARK FATE : résumé des épisodes précédents

TERMINATOR DARK FATE : des meufs qui cartonnent

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Avec la sortie du 6e opus de la saga Terminator, vous ne comprenez plus rien à l’intrigue ? Nous non plus. Mais on a quand même essayé de résumer les épisodes précédents. Voici un récap 100% spoiler…

Terminator (1984)

Dans ce premier film fondateur de James Cameron, deux personnages envoyés du futur cherchent à retrouver une certaine Sarah Connor. Le premier est un humain du nom de Kyle Reese : c’est le gentil, il veut sauver Sarah. Le second est un robot tueur professionnel de type Terminator T-800 (incarné par Arnold Schwarzenegger) : c’est le méchant, il veut buter Sarah.

Pourquoi cet engouement autour de Sarah Connor ? Parce que dans le futur post-apocalyptique, les hommes et les machines se livrent une guerre sans merci. Et le chef de la résistance humaine, c’est un certain John Connor, le futur fils de Sarah. Donc les méchantes machines envoient le Terminator pour tuer John dans l’œuf, si on peut dire, en essayant d’assassiner sa mère avant qu’il ne naisse. Sauf que le plan des machines est mis à mal par le gentil Kyle, qui va sauver Sarah et (ironie de l’histoire) engendrer John en couchant avec elle. Au bout du compte, le Terminator tue Kyle – et Sarah tue le Terminator à l’aide d’une presse hydraulique. Dans la scène finale, on découvre Sarah enceinte, au volant d’une jeep sur une route mexicaine.

Terminator 2 : Le jugement dernier (1991)

Souvenez-vous, c’était les grands débuts du morphing et de l’animation 3D en images de synthèse.

Les méchantes machines de Skynet ayant échoué à tuer Sarah Connor en 1984 dans le premier film, elles décident d’envoyer un cyborg encore plus fort et encore plus caféiné : un T-1000, envoyé cette fois-ci en 1996, un an avant l’apocalypse nucléaire, pour accomplir une mission moins alambiquée, à savoir tuer directement John Connor . La résistance balance alors un bon vieux « contre-kem’s » en envoyant dans le passé un T-800 reconditionné et reprogrammé pour protéger le jeune John.

C’est l’occasion de retrouver Shwarzie dans le rôle du T-800, sur sa moto avec son cuir. Plutôt chanceux, il retrouve John avant le T-1000, récupère Sarah au passage, mais n’arrive absolument pas à se débarrasser de l’increvable T-1000. Tout ce petit monde finit par se retrouver dans une charmante fonderie. Le T-1000 prend l’apparence de Sarah et tend un piège à John. Mais grâce aux assauts successifs de Sarah et du T-800, il finit par basculer dans une cuve de métal en fusion, où il agonise sans grande dignité. John balance dans la cuve tous les composants électroniques qui permettraient de recréer des méchants robots dans le futur. Le T-800 lui stipule qu’il reste une micro-plaquette électronique : la sienne, celle qui est à l’intérieur de son corps bodybuildé de Terminator. Alors, dans un geste d’une très grande humanité, il se sacrifie en plongeant dans la cuve de métal en fusion.

Terminator 3 : Le soulèvement des machines (2003)

Les droits d’exploitation de la licence Terminator ont changé de main. James Cameron ne contrôle plus sa créature. Et voilà ce que ça donne…

Le Jugement Dernier n’a apparemment pas eu lieu. Mais la menace plane. Car Skynet n’est pas mort. Le père d’une camarade de classe de John Connor (une certaine Katerine) a repris le projet. Depuis le futur, Skynet envoie une Terminator T-X ultra-perfectionnée pour supprimer tous les leaders de la résistance. John et Katerine sont dans son collimateur. Mais heureusement la Katerine du futur a envoyé un Terminator T-850 (incarné une nouvelle fois par Arnold Schwarzenegger) pour leur porter secours.

Tout le monde fait de son mieux pour enrayer Skynet. Mais cette maudite intelligence artificielle infiltre l’Internet et on ne peut plus rien faire. Katerine et John sont envoyés dans un abri anti-atomique. Et l’inéluctable se produit. C’est l’holocauste nucléaire. Il va falloir sérieusement s’organiser pour rétablir le wifi.

Terminator Renaissance (2009)

Les droits de la franchise re-changent de mains. Et ça ne redore pas l’image de la saga. Ce quatrième volet est le seul à se dérouler quasi-exclusivement dans le futur. En théorie, il s’agit de la suite de l’histoire de TERMINATOR 3. Arnold Schwarzenegger n’y apparaît qu’en images de synthèse.

« Voici mon résumé : le mec meurt, ressuscite, rencontre des gens, se bat. Ça dure presque deux heures. »

Roger Ebert (1942-2013), célèbre critique de cinéma américain

L’intrigue se déroule en 2018, après le fameux « jugement dernier ». Un certain Marcus Wright, qui avait donné son corps à la science, se réveille en plein bazar et survit à une explosion nucléaire. Il est devenu un prototype de Terminator T-700 (l’ancêtre du T-800 et du T-1000), moitié homme moitié robot.

John Connor, lui, se la joue toujours rebelle contre Skynet, qui veut toujours l’assassiner. Après quelques échanges musclés, John et Marcus deviennent alliés. Ensemble, ils sauvent Kyle Reese, le « futur » père de John. Dans le feu de l’action, John est blessé mortellement, mais heureusement Marcus est super sympa et il a le sens du sacrifice : il lui offre son cœur d’humain pour lui sauver la vie. C’est beau.

Terminator Genisys (2015)

Les droits de la franchise ont de nouveau changé de main (pour la 3e fois en douze ans). Ce film n’est pas une suite, mais un « reboot » de la franchise. Il part du principe que seuls les 2 premiers volets de la saga existent et qu’il constitue la suite « officielle » de TERMINATOR 2, autrement dit le « véritable » TERMINATOR 3. Schwarzie revient aux affaires en chair et en os pour reprendre son rôle de T-800. Il est accompagné d’Emilia Clarke (aka Daenerys dans Game of Thrones) qui joue le rôle de Sarah Connor jeune.

Les événements de ce film vont développer une nouvelle « timeline » qui modifie la chronologie présentée dans les 2 premiers épisodes. Dans le futur, Skynet envoie bien le T-800 chargé de tuer Sarah Connor en 1984. Il est toujours suivi par Kyle Reese, envoyé par John Connor lui-même. MAIS (attention, concentrez-vous bien, prenez un Aspro) : dans le futur, en fait, John Connor est transformé par Skynet en cyborg et se met au service de la méchante intelligence artificielle. Par ailleurs, Skynet envoie un T-1000 en 1973 pour tuer Sarah Connor dans le passé, dans une pure logique « ceinture & bretelles ». Au même moment, un autre T-800 (surnommé « Papy ») est envoyé en 1973, pour protéger Sarah du T-1000, sans qu’on sache par qui… Et enfin, Skynet envoie la version cyborg de John Connor quelques années avant 2017, pour garantir la création de Skynet.

Vous n’avez rien compris ? On ne va pas vous jeter la pierre. Et de toutes façons, on s’en moque, car le nouveau « reboot » TERMINATOR DARK FATE va de nouveau tout effacer et rétablir l’honneur de la saga, qui commençait à partir sérieusement en cacahuète.

Terminator : Dark Fate (2019)

Avec TERMINATOR : DARK FATE, c’est le grand retour de Linda Hamilton dans le rôle de Sarah Connor. James Cameron a récupéré les droits de « sa » franchise. On efface tout, on recommence. Voici la suite « sur-officielle » de TERMINATOR 2. C’est en quelque sorte le troisième « TERMINATOR 3 », mais vous pouvez considérer que c’est le bon, le vrai, l’unique. On ne va rien vous en révéler, on va juste vous encourager à aller le voir.

Pour célébrer la sortie du film TERMINATOR : DARK FATE, le 23 octobre 2019, on vous a préparé un Golden Ticket d’exception. Vous allez pouvoir gagner des places de cinéma, des coffrets collectors et des goodies. Mieux : vous allez peut-être remporter un week-end pour 2 à Madrid, pour en terminer avec la morosité ambiante.

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TERMINATOR DARK FATE : concours Golden Ticket

En attendant Madrid, voici la bande-annonce de TERMINATOR: DARK FATE :

Fatal Bazooka

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